La Fondation pour l’Innovation dans le Cardio-métabolisme et la Nutrition (IHU ICAN) est un centre de recherche translationnelle d’excellence sur les maladies du cardio-métabolisme : diabète, obésité, maladies du foie (NASH), maladies du cœur et des vaisseaux. Créé en 2011 l’IHU ICAN est situé au cœur de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière et s’appuie sur les expertises de ses membres fondateurs : Assistance Publique Hôpitaux de Paris (AP-HP), l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) et Sorbonne Université (SU) pour mener sa mission. L’ICAN est l’un des meilleurs instituts pour les maladies cardiovasculaires, métaboliques et nutritionnelles en Europe, rassemblant des équipes de chercheurs fondamentaux et cliniques. L’ICAN a structuré des plateformes de pointe pour la recherche translationnelle, notamment pour l’imagerie des tissus cardio-métaboliques, ainsi que pour l’intégration de données cliniques et multi-omiques. Notre mission est d’accélérer l’application des résultats de la recherche préclinique et clinique directement aux soins des patients souffrant de maladies du cardiométabolisme. Notre objectif est de prévenir, prédire, innover et développer une médecine personnalisée pour les patients.

L’IHU ICAN en quelques chiffres :

168

médecins

221

chercheurs

55

études cliniques en cours

6

centres de référence maladies rares

4

parcours de soin innovants

42 000

patients inclus dans des cohortes, registres et essais cliniques

Plus d’informations sur www.ihuican.org

Les équipes de l’IHU ICAN accompagnent l’unité de rythmologie pour mener des projets de recherche innovants sur les maladies du rythme cardiaque.

Les équipes sont impliquées dans le Projet MAESTRIA, coordonné par le Pr Stéphane Hatem. Maestria est un projet de recherche international sur la fibrillation auriculaire composé d’un consortium de 18 partenaires.

Leurs travaux de recherche menés avec l’IHU ICAN ont aussi contribué à mieux comprendre les bases cellulaires et moléculaires de l’excitabilité cardiaque.

Ils ont également contribué à une meilleure connaissance de forme familiale de troubles du rythme notamment à la description de la dysplasie aryhtmogène, à la découverte de nouveaux gènes (QT long, dysplasie, Brugada).